Peaky Blinders.

‘Personne par la guerre ne devient grand’Maître Yoda.

De tout temps qu’il y a eu des richesses de toute sorte et des hommes d’opinions et d’intérêts divers, la guerre a sévie. Causant son lot de perte et de fracas, profitant à certains, elle est source de grands changements, bouleversements. Que ce soit pour ceux impliqués dans le combat, ceux le subissant, ceux l’orchestrant, elle reste une indéniable fatalité aux conséquences incommensurables autant humainement qu’environnementales.

Dés le premier épisode de cette série britannique produite et diffusée par BBC Two, se situant quelques mois après le dénouement de la Première Guerre Mondiale, ces conséquences se font sentir chez la majorité des personnages en présence. A travers la conduite de Danny Whizz-Band (Samuel Edward-Cook) et Arthur Shelby (Paul Anderson), les cauchemars de Tommy Shelby (Cillian Murphy) et les mentions omniprésentes à la Somme, aux autres lieux de batailles dont sont revenus ces protagonistes sans oublier la tension politique d’après guerre, la dimension traumatisante des atrocités commises et subies sautent au regard du spectateur. Également, les services rendus au nom du Roi pour revenir chez soi sans réel gain des promesses annoncées et la place de celles et ceux n’ayant pas pris part au conflit s’en ressent fortement. La place des femmes par exemple est similaire à beaucoup de série de ce genre, celle de personnalités fortes et influentes cependant amoindries par la ténacité des hommes à vouloir incarner des instances décisionnelles comme pour assurer le peu de contrôle qu’ils peuvent encore avoir sur leur propre vie après tout ça.

En plus d’ancrer la situation dans son époque, le fait de suivre les membres d’une fratrie de trois générations différentes permet de voir l’impact de ces années de combat d’autant de façon différentes. John (Joe Cole), le jeunot, fait preuve de négligence et d’impulsivité ; Arthur, le plus âgé, se noie dans l’alcool et la violence tandis que Tommy y a perdu son sourire préférant focaliser son attention sur ses responsabilités familiales.

Les Peaky Blinders formait un gang qui a réellement existé à cette période. Ils arboraient en raison d’une lame de rasoir camouflée dans la visière (‘Peak‘ en anglais) de leurs bérets, et dont ils se servaient lors de bagarres pour aveugler leurs opposants. La première saison commence en introduisant la notoriété et l’influence de leur charismatique meneur Tommy, tout en décrivant sommairement la nature de leurs activités, à savoir les paris équestres. L’intelligence de ce dernier est très rapidement mise en valeur par l’importance accordée au symbole, à la perception de ses actes auprès des habitants de ce quartier de Birmingham.

Le départ de l’intrigue se fait en parallèle de l’arrivée du Chef inspecteur Chester Campbell (Sam Neil) en ville, anciennement en poste à Belfast pour nettoyer les poches naissantes de l’IRA, et les révélations de Freddie Thorne (Iddo Goldberg) faites à Tommy au sujet d’un dossier d’enquête ou leurs deux noms figurent. Il s’avère qu’en plus des paris, les Peaky Blinders s’adonnent également à des vols de cargaisons dans les entrepôts du port, et ils n’auraient jamais dû mettre les mains sur celle actuellement en leur possession. D’implication nationale, elle va attirer les foudres d’un certain Winston Churchill (Andy Nyman) sur la famille et le gang, que Tommy va bien avoir du mal à gérer.

De ce postulat de départ naît une série rafraîchissante quant à sa façon de développer son intrigue, ses personnages. Éloquente quant aux tenants et aboutissants de cette période d’après guerre, elle offre un portrait des années 1920 loin de la grandiloquence des rues d’Atlantic City vues dans Boardwalk Empire, et qui n’en est que plus juste étant centrée sur un quartier particulièrement populaire de Birmingham. Ces éléments en particulier font forcément penser à Sons of Anarchy dans l’importance accordée à la famille bien que jonglant entre illégalité et survie dans une localité ou le national vient s’immiscer. On y retrouve d’ailleurs Tommy Flanagan (Chibs).

Visuellement très travaillée, la réalisation irréprochable et l’ingéniosité des retournements de situations, sans oublier la qualité de jeu et le charisme des acteurs en font un programme intéressant, divertissant et captivant. La saison 2 a été diffusée en Novembre 2014 et de son début à sa toute fin continue dans la même lignée sans perdre en intensité. Une saison 3 a été commandée pour la fin 2015 !

Cyberbully.

‘Il n’y a pas de meilleure époque que la notre pour être en vie.’Donald Glover dans son one man show ‘Weirdo‘.

C’est un constat aisément qualifiable d’hypocrite de la part d’un occidental doté d’un confort et d’une aisance de vie incomparable à celle des pays ou règne les conflits et la pauvreté, ou les pertes s’empilent dans une indifférence remarquable.

Il devient donc envisageable de considérer le propre de l’homme comme étant enclin à peu se soucier de son prochain quand la sécurité de ses habitudes et comportements est entière, et encore plus lorsque celle ci est mise en danger. Après tout, on peut difficilement vivre pour autre que soi à plein temps.

C’est un constat cependant tout à fait juste de part la liberté dont nous jouissons « tous » globalement, notamment à travers l’expressivité infinie dont Internet nous abreuve chaque jour, avec ses excés inévitables.

C’est l’une des nombreuses thématiques abordées dans le téléfilm ‘Cyberbully‘ produit par la chaîne Britannique Channel 4. Un huit clos prenant place dans une chambre d’adolescente, à la lumière basse, aux murs garance chargés de bibelots décoratifs autant qu’affectifs. C’est à travers l’œil imparfait d’une webcam que l’on découvre Casey, incarnée par Maisie ‘Arya’ Williams. De quelques scénettes dispatchées sur pas loin de cinq cents minutes de contenu, là voici quasiment seule à l’écran pour une bonne heure et demie à donner du clavier plutôt que de l’épée.

Internet a depuis l’apparition des réseaux sociaux et des smartphones pris un essor inexorable. Son expansion a touché parmi les coins les plus reculés du monde et donné une voix globale à des dizaines de pays peinant à se faire entendre et à revendiquer leur existence. D’un autre coté, Internet a été un révélateur d’idées, d’opinions, un émulsifiant d’expressivité autant créatrice que destructrice. L’hyper-connectivité dont bénéficie un ensemble du monde, bien qu’à différents niveaux, est à double tranchant.

L’instantanéité du partage de contenu, des échanges, la facilité du clic comme relais d’information, comme moyen d’expression sont autant de failles potentiellement dangereuses que de bienfaits éventuels. La liberté de dire ce que l’on pense, ou simplement de dire ce qui vient, gratuitement pour amuser la galerie. C’est d’un simple tweet que démarre l’intrigue de ce téléfilm, abordant directement l’importance accordée aux mots lâchés, autant par le choix de ceux ci que par leur interprétation, sur la place publique et de leur impact sur le personnel.

‘Rien n’est vrai, tout est permis’Assassin’s Creed.

De ce credo, certains ont fait l’application. Internet est désormais source de buzz de ses propres créations. Invention humaine et économique, il va de soi qu’elle est imparfaite et mensongère. Il n’y a pas de sécurité absolue en matière de protection de contenu et de données personnelles. Tout comme il y a toujours eu des énergumènes pour contourner et aller au delà des limites et règles établies. A travers un habile chassé croisé, ces notions et leur développement dans l’histoire mettent l’accent sur la responsabilité incombant à chacun dans nos actes et paroles sur la toile, démontrant ainsi par la même occasion la difficulté d’assumer lorsque mis face à l’erreur de nos choix.

Sans en révéler plus, ce téléfilm englobe avec justesse comme excès les faiblesses actuelles de ce média. A travers son propos et ce jeune personnage à la maturité à construire est montrée l’ampleur que ces éléments de vie virtuelle peuvent avoir comme conséquences sur la vie réelle. Bien qu’étant romancés et accentués pour l’existence même du produit fini, ils n’en sont pas moins cohérents et percutants quant à la conscience et prudence nécessaire lors d’échanges sur la toile. Cette appellation seule devrait suffire à en envisager les ramifications.

Réalisé habilement et simplement, et ce malgré certains plans lourdement répétitifs, l’alternance du point de vue ‘webcam’ et ‘réalité’ renforce agréablement la mise en abyme de la situation proposée. La performance de Maisie Williams est saisissante pour le réalisme qu’elle offre à son personnage, ancré dans notre époque, sa peau d’adolescente errante, et assumant ses actes jusqu’à être contraint d’en admettre les failles. Qui plus est, autant à travers ce personnage féminin que celui de Jennifer Lin, l’accent est mis sur l’acharnement que peuvent subir et perpétrer les nouveaux arrivants dans cette génération connectée, et plus particulièrement celui dont sont victimes les femmes dans le dévoilement quasi systématique de leur intimité sur les réseaux.

De son introduction reflétant une réalité connue à la finalité de cette lutte étouffante ou se mêle le réel et le virtuel, la tension est palpable, l’atmosphère un brin malsaine et la portée pertinente. Il se fait la preuve irréfutable que rien ne vaut le réel.

http://www.letagparfait.com/fr/2015/01/21/emma-holten-sa-revanche-au-revenge-porn/

Le réveil.

Hier a été diffusé dans une trentaine de cinémas américains puis sur la toile le premier trailer de l’épisode VII de la saga Star Wars. D’un durée de 88 secondes, on y voit de nouvelles têtes, de nouveaux designs, ainsi que des carlingues immanquables et ô combien agréable à retrouver. Il faut bien l’admettre !

Star Wars, c’est au départ la vision d’un homme. Un jeune étudiant de l’Université de Caroline du Sud qui, s’inspirant d’influences asiatiques comme américaines, parvient à créer après le succès tantôt critique tantôt commercial de ses deux premiers longs métrages (THX 1138, 1971 ; American Graffiti, 1973) une épopée fantastique. Mêlant lutte du bien contre le mal, voyages interstellaires, planètes et créatures inédites, combats archaïques et futuristes, complexité de l’absence parentale, Georges Lucas posait avec A New Hope (1977) les fondations d’un univers à la richesse créatrice quasi infinie.

Sa première trilogie fut un succès mondial retentissant, particulièrement valorisant avec les difficultés rencontrées à produire le premier opus, autant au niveau du développement des personnages, des intrigues et surprises du scénario, des prouesses techniques inventées pour la réalisations des effets spéciaux.
Autant que ça puisse paraître excessif, dans bien des aspects ses films constituent une pierre angulaire du cinéma dans ce qui a pu être fait après lui.

16 ans après la sortie de The Return of The Jedi (1983), Lucas s’attelle à développer les genèse de son histoire avec les épisodes I, II et III, ayant commencé par les épisodes IV, V et VI. Nous sommes à l’aube des années 2000 ou Internet est en pleine émergence, ou l’assistance numérique par ordinateur permet des actions encore inégalées, ou l’empreinte de la saga est ancrée dans au moins deux générations d’enfants et d’adultes avec l’enrichissement de son univers à travers tous les médias qui ont pu se développer entre les deux trilogies (comics, roman, jeux vidéos, jouets, produits dérivés, …).
C’est donc une aubaine pour monsieur Lucas ! Ayant pensé son histoire du début à la fin, il a enfin les moyens techniques et financiers de la terminer à l’écran. Ce sont des milliers de personnes qui se ruent parfois plusieurs semaines à l’avance devant leur cinéma pour assister en Mai 1999 au grand retour de la saga sur grand écran.

L’affluence est donc au rendez vous, mais pas nécessairement la satisfaction du public. Les causes sont simples. Les évolutions technologiques entourant le monde du 7ème Art à cette époque ont permis une liberté de création visuelle et de rendu de l’imaginaire plus poussées que jamais auparavant, mais ont également changé la façon de faire des films ainsi les codes relatifs à la réalisation et production d’un film, spécifiquement à Hollywood.

Dans les années 80, il va de soi qu’on ne vivait pas comme on l’a fait 20 ans après. Tout comme on ne consommait pas, ne riait pas, n’aimait pas de la même façon. Les comic-relief, l’histoire d’amour et l’ampleur des révélations de la première trilogie n’ont strictement rien à voir avec le traitement de ces thèmes dans la seconde. Il faut vivre avec son temps disait l’autre, et à étudier ces films dans leur ensemble, on peut trouver de la pertinence à cette citation tout comme une valeur anthropologique.

C’est là que le clivage s’opère et que les critiques fusent entre les fervents défenseurs de la première et les adorateurs de la seconde. Il semble que Lucas dans l’assise confortable de son empire, ait soit choisi, soit s’est adapté à la façon de faire de l’époque. Il est vrai qu’on peut difficilement se permettre après une telle amplitude de simplement répéter ce que l’on a fait et de ne pas souhaiter contenter et toucher le plus grand nombre. L’évolution des mœurs va de paire avec tous les éléments évoqués autour de ces différences.

Le fait est que cette nouvelle trilogie est arrivée avec une très forte dose d’images de synthèse, un humour pâteux et lourd, une histoire d’amour stéréotypée et ennuyeuse, de l’épique pleins les yeux. Les enjeux n’étaient plus les mêmes, et en gagnant en qualité visuelle a été égaré la simplicité qui faisait le charme de cette épopée pour certains.

‘L’œil ne voit que la surface des choses, ne t’y fies pas‘. Disait Maître Obi Wan Kenobi au jeune Luke Skywalker dans A New Hope. Sans forcément targuer Lucas de dons de prémonition dans la Force, cette phrase a du sens quant à la scission de la communauté au sujet des deux trilogies. Bien que s’étant adapté aux codes en vigueur à l’époque afin de conquérir un nouveau jeune public, il a tout de même su rester intègre à son histoire et intention première. Il se passe presque plus de choses en second plan avec les manipulations diplomatiques, les intrigues secondaires que ce que l’action du premier plan nous laisse à penser.
L’annonce de la seconde trilogie a forcément poussé l’univers étendu à se développer dans ce sens, et apporte une toile de fond complexe et pertinente à l’intrigue des films, sans forcément être indispensable à la compréhension et captation de ces éléments à l’écran. C’est là toute la richesse de ces films et la légitimité de leur existence, ainsi que l’intelligence de Lucas qui, au delà de simplement créer des parallèles d’images entre les deux trilogies, a su réellement développer et contenter ces fans avertis de la première heure. A ce moment là, pour certains, la saga Star Wars formait un tout, entier et cohérent.

Moins de dix ans après La Revanche des Sith (2005), la propagation de Star Wars dans le quotidien a atteint des sommets. Des centaines de romans et comics, des dizaines de jeux vidéos, deux MMORPGs, des conventions à travers le monde, des licences chez des dizaines de fabricants, … L’empire s’est étendu au delà de l’imaginable et est désormais parmi les plus gros catalyseurs d’argent de la planète.

Désireux de prendre une retraite plus que confortable, Lucas vends en Mai 2012 les droits de la firme Lucasfilm ltd., dont il est le créateur en 1971, à Disney déjà possesseur de ces créations, de la licence Marvel, et de bien d’autres choses encore. Le tout pour la bagatelle de 4 milliards de dollars.

De part bien des aspects dont l’essoufflement de la série Clone Wars, l’incapacité de Lucasarts (société pionnière dans la création de jeux vidéos) à proposer des jeux de qualité et à en développer de nouveaux, ce rachat s’inscrit presque dans une certaine logique. Après tout, si Disney a les moyens de mettre autant d’argent dans une licence, c’est qu’ils ont les capacités de la faire vivre et durer. Pourquoi pas !

A plusieurs reprises lors de parodies autour de la grande saga, il avait été ironisé par South Park en tête que Mickey était un Dark Vador en puissance aux intentions pécuniaires et à la volonté malveillante. Et bien que voir une nouvelle trilogie être mise en chantier ne soit pas une mauvaise chose en soi pour la pérennité de cet univers cher à des milliers d’entre nous, la souris a rapidement fait démonstration de ces moyens et de sa main mise sur son récent acquis. Des spin off ont été annoncé, des séries d’animation, des jeux vidéos, …
Alors que le développement de The Force Awakens prenait forme, un constat dut être fait entre J.J. Abrams et Disney. Tout comme il était compliqué de contenter tout le monde avec la seconde trilogie, la tâche s’avérerait d’autant plus difficile désormais. L’univers étendu ayant couvert l’histoire de – 5000 à + 100 environ après les événements décrits dans l’épisode IV, il était compliqué de créer quelque chose de nouveau sans perdre une potentielle audience et en ne créant pas également une frustration immense chez les fans de la première heure.
C’est pourquoi fut décidé de reléguer au rang de légende tous les événements de l’univers étendu, tout ce qui n’était pas cinématographique ou télévisuel. Et c’est là qu’il semble pertinent de dire que cette source de rêves enfantin qu’est Disney a détruit l’enfance de plus d’un d’entre nous. Pour la simple raison qu’évoluer dans quelque chose que l’on connaît, côtoie depuis toujours est une source de confort au renouvellement fréquent, et qu’aussi vrai qu’on a du mal à s’adapter au changement en grandissant, voir ainsi les fondations même d’une passion ou d’un passe temps disparaître revient à peu prés à la même chose que voir le toit de la maison de son enfance être arraché par une tempête.

C’est ce pourquoi il est difficile de croire en cette nouvelle trilogie, en ce trailer. Bien que satisfaisant dans ce qui peut y être retrouvé d’authentique au niveau de la musique, des carlingues, il est palpable à travers ses 88 secondes que Mickey et J.J. essaient à nouveau de séduire deux camps, de répéter la recette qui fonctionne à grande échelle et déçoit quelques uns. Il n’y a rien de négatif ou décevant en soi dans ce trailer qui n’est qu’une ébauche de ce que sera le produit fini. L’humour semble plus mature, les fondamentaux semblent présents à travers le cast, les designs et les thèmes originels. Qui plus est, certains éléments dévoilées de l’histoire du prochain opus suscitent une certaine inquiétude quant à leur logique basique.

Il n’est donc pas évident de se sentir encore en authentique connaissance et possession de ce qui va nous être servi, de cet univers et de ce qu’il nous réserve après tous ces chamboulements. De multiples histoires ont été laissées en suspens sans réelle clôture ou alors que l’espoir d’une suite subsistait encore et c’est une nouvelle ère qui s’annonce pour tous en la matière.

Il doit être perturbant pour certains de se retrouver à cette place, tout comme il doit être pleinement satisfaisant et frissonnant de retrouver la perspective d’une suite. Il faut de tout pour faire un monde, et les choses suivent leur cours comme les temps le dictent. Le temps passe et avec lui s’apaisent le ressenti et les maux. Rien n’a été détruit ou supprimé, simplement relégué, annexé. C’est à chacun de choisir la valeur et l’importance qu’il accorde aux choses de cet univers. Ce n’est simplement pas toujours dans la quantité que réside la qualité, et c’est un élément à garder en tête dans les mois et années à venir.

Ecrit le 28 Novembre 2014.